Ces dernières années, la mobilité des personnes très qualifiées de pays en développement (ce que l'on appelle communément la "fuite des cerveaux") a augmenté. Cette plus grande mobilité draine-t-elle vraiment les compétences des pays en développement ? La mondialisation a-t-elle suscité des forces qui contrecarreront les effets néfastes qu'on lui prête ? Ce mouvement doit-il être complètement adandonné aux forces du marché ou faut-il intervenir d'une façon ou d'une autre ? Dans ce dernier cas, quelles sont les options envisageables ? (Résumé de l'auteur).